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Publié le 26 juin 2020

« J’ai pu mettre dans l’équation de ce changement professionnel ma fille et mon conjoint  »

Femme sur son PC

Aujourd’hui Responsable R&D chez Aptunion, une PME agroalimentaire du Vaucluse spécialisée dans les produits sucrés, Lucie Taquet nous raconte son « expérience candidat » avec Nathan Regardin qui l’a accompagnée dans un grand changement de vie ! 

Découvrez son témoignage et la valeur ajoutée de Wonderfoodjob !

« J’étais dans une période charnière de ma vie  car j’attendais mon premier enfant. »

CT : Dans quel contexte avez-vous été en relation avec Nathan Regardin, recruteur chez Wonderfoodjob ?

Lucie Taquet : A l’époque, je travaillais depuis 4 ans dans une PME spécialisée dans le chocolat dans la région de Saint-Etienne en tant que Chef de Projet R&D. C’était mon premier emploi et j’ai eu envie d’évoluer. J’étais dans une période charnière de ma vie car j’attendais mon premier enfant. 

Pendant mon congé maternité, j’ai mis mon CV sur un job board. Nathan Regardin m’a contactée pour me proposer un poste de Responsable R&D chez Aptunion, une PME agroalimentaire du Vaucluse spécialisée dans les produits sucrés. Cela correspondait tout à fait à mes aspirations car je souhaitais rester dans une PME me permettant d’être polyvalente, dans la R&D et les produits sucrés. Nous avons eu tout d’abord un bref entretien pour valider un intérêt réciproque.

« Je me suis tout de suite sentie à l’aise et en confiance parce qu’il s’intéressait à moi et à ce  que je souhaitais faire »

CT : Comment avez-vous perçu son approche ?

Lucie Taquet : Je dirais que je me suis tout de suite sentie à l’aise et en confiance parce qu’il s’intéressait à moi et à ce que je souhaitais faire. Je l’ai évidemment informé de ma grossesse et nous avons ensuite poursuivi les échanges. Nous avons eu un entretien plus poussé et puis j’ai passé un test de personnalité. J’étais un peu stressée par le test car on se demande toujours dans ces cas-là si ce que l’on répond correspond à ce qui est recherché. Mais Nathan m’a dit que le plus important, c’était de rester soi-même et de répondre honnêtement… qu’il n’y avait pas de bonne ou mauvaise réponse mais seulement des traits de caractères plus ou moins compatibles avec le profil recherché. 

« Nathan, dans son approche, a vraiment eu ce double objectif de satisfaire son client et de  répondre à mes aspirations. »

CT : N’était-ce pas trop de pression de devoir gérer un entretien d’embauche et la perspective d’un déménagement en plus de devenir mère pour la première fois ?

Lucie Taquet : Pas du tout en fait, parce que lui, comme Aptunion m’ont laissé du temps. Et d’ailleurs, Nathan a tout de suite cerné l’intégralité de ma situation. Il a dès le départ pris en compte dans ce recrutement le fait que j’allais avoir un enfant, mais aussi le fait que je devrais déménager, trouver une nounou et que mon conjoint devrait aussi changer de job. Et cette approche très complète, très humaine, m’a beaucoup plu. 

Dans le même temps, j’avais été contactée par un autre cabinet de recrutement et j’ai pu faire la différence avec Nathan. Le cabinet en question a eu une approche très froide et j’avais le sentiment qu’il ne s’intéressait qu’à la satisfaction de son client et pas du tout à ma situation ni à mes aspirations. Nathan dans son approche a vraiment eu ce double objectif de satisfaire son client et de répondre à mes aspirations. Au final, au-delà de mes compétences, il a regardé les affinités entre mon projet de vie et le poste proposé, et c’est pour cela que ça a fonctionné.

« Il a en fait très bien mesuré le changement de vie dans lequel j’étais et a toujours fait de son mieux pour faciliter les choses. »

CT : Comment avez-vous été préparée pour l’entretien avec Aptunion ?

Lucie Taquet : Nathan m’a donné toutes les informations dont il disposait pour que je puisse bien me positionner lors de l’entretien avec Aptunion. J’étais un peu stressée, j’avais pas mal de questions à savoir que je venais d’une entreprise agroalimentaire du type « entreprise libérée » pour intégrer une structure plus hiérarchisée. Nathan a fait son maximum pour m’apporter toutes les réponses, m’accompagner et me rassurer. Il a été joignable et réactif tout le temps et se renseignait auprès de son client quand il n’avait pas les réponses. Il a en fait très bien mesuré le changement de vie dans lequel j’étais et a toujours fait de son mieux pour faciliter les choses. 

« Il m’a rassurée et conseillé de rester moi- même. »

Après mon accouchement, comme du temps s’était écoulé depuis nos derniers échanges, Nathan m’a proposé un entretien d’une heure avant l’entretien avec l’entreprise. Il m’a rassurée et conseillé de rester moi-même. Ensuite, j’ai eu un premier entretien avec mon manager, Thomas Prothon, environ une semaine après mon accouchement. Et puis un mois plus tard un entretien avec Thomas Prothon, le DRH et le DG d’Aptunion. Et j’ai été embauchée !

« Pendant toute ma période de prise de poste,  je me suis sentie soutenue par Nathan. »

 

CT : Comment s’est passée votre intégration chez Aptunion ?

Lucie Taquet : J’ai été très bien accueillie et le binôme que je forme avec mon manager fonctionne très bien car nous sommes très directs dans nos échanges. Pendant toute ma période de prise de poste, je me suis sentie soutenue par Nathan. Il était très à l’écoute, se proposait de faire l’intermédiaire avec mon manager si besoin et me donnait des conseils pour aborder tel ou tel sujet. 

« Alors que les entretiens de suivi d’intégration s’achèvent à la fin de la période d’essai, Nathan a continué à faire des entretiens jusqu’au 6ème mois.»

Chaque mois, Nathan avait un entretien de suivi d’intégration avec mon manager et un entretien avec moi. C’était agréable de voir que nous étions, mon manager et moi, au diapason ; mais c’est aussi parce que le terrain affinitaire avait bien été préparé par Nathan. Alors que normalement les entretiens de suivi d’intégration s’achèvent à la fin de la période d’essai, c’est-à-dire au bout de 3 mois, Nathan a continué à faire des entretiens jusqu’au 6ème mois.  

« J’ai une image différente des cabinets de recrutement. »

CT : Quid de votre installation dans le Vaucluse ?

Lucie Taquet : Pour mon conjoint qui est Chef de Cuisine, retrouver un emploi n’a pas posé de problème. Ce qui a été le plus difficile en revanche, c’est de trouver une nounou qui accepte des horaires atypiques, notamment quand je suis en déplacement et que mon conjoint travaille le soir. 

« Parler à un cabinet de recrutement  agroalimentaire, comme Wonderfoodjob, est l’idéal car j’ai pu m’exprimer librement, avec mes mots techniques, en étant certaine d’être  comprise. »

CT : Un an après votre embauche, qu’est-ce que vous a apporté cette nouvelle expérience ?

Lucie Taquet : Elle m’a tout d’abord permis de grandir, de me développer, même si au départ tous ces changements paraissaient stressants. Également, j’ai aussi une image différente des cabinets de recrutement. Il est vrai que de parler à un cabinet de recrutement spécialisé qui connaît bien le secteur agroalimentaire et ses métiers, comme Wonderfoodjob, est l’idéal car j’ai pu m’exprimer librement, avec mes mots techniques, en étant certaine d’être comprise. J’ai pu aussi mettre dans l’équation de ce changement professionnel et de vie ma fille et mon conjoint et ça c’est aussi une énorme valeur ajoutée !

Image : crédits Lucie Taquet

Propos recueillis par Christelle Thouvenin